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Les nouvelles mesures anti pollution

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Nouvelles_mesures_pollution

En Décembre dernier se tenait la COP 21 (Conférence des Parties), à propos de l’environnement et des changements climatiques. Suite à ce grand évènement, de nombreuses mesures ont été mises en place afin de limiter le réchauffement climatique à 2°C. C’est notamment le cas à Paris depuis le 1er juillet. Deux nouvelles mesures ont été instaurées depuis le 1er juillet afin de préserver la ville de Paris de la forte pollution.

  1. La vignette anti-pollution

Nous avions déjà connu la pastille verte (de 1998 à 2003) qui permettait d’identifier les véhicules les moins polluants, qu’ils soient électriques, au GPL ou simplement catalysés. A l’époque, ce signe distinctif n’avait guère convaincu par son efficacité : la « pastille verte » ne servit en effet que lors de très rares épisodes de circulation alternée.

En revanche, depuis le 1er juillet 2016, un nouveau système national a été mis en place : le Certificat Qualité de l’Air. Ce nouveau macaron permet d’identifier le niveau de pollution de la voiture, selon sept niveaux.

« Elles ne sont pas obligatoires mais comme dans les zones de circulation restreinte’ (ZCR) seuls seront autorisés un certain nombre de certificats de qualité de l’air, tout le monde a intérêt à les obtenir », a expliqué Ségolène Royal. Pour l’instant, seule la mairie de Paris a décidé de créer une ZCR.

2. Non-circulation des véhicules mis en circulation avant 1999

Ces vignettes sont aussi le moyen de contrôler la deuxième nouveauté mise en place à paris. La circulation des véhicules immatriculés avant le 1e janvier 1997 sera interdite en semaine entre 8 heures et 20 heures. Et c’est la vignette qui fera foi.

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Pastille verte et blanche : Crit’Air
Véhicules zéro émission 100 % électrique ou hydrogène
=> Cette vignette peut s’apposer sur les véhicules les plus propres disponibles aujourd’hui sur le marché. Ex : Renault Zoé, Toyota Mirai…

Pastille mauve : Crit’Air 1
Véhicules essence ou hybride répondant aux normes Euro 5 et Euro 6 (à partir du 1e janvier 2011)
=> Cette pastille concerne principalement les modèles essence récents, sans distinction de puissance ou d’émissions. Ex : Renault Clio 4 essence 2012, Volkswagen Golf GTI 2013…

Pastille jaunes : Crit’Air 2
Véhicules essence ou hybride répondant aux normes Euro 4 (du 1er janvier 2006 au 31 décembre 2010)
Véhicules diesel répondant aux normes Euro 5 et Euro 6 (à partir du 1er janvier 2011)
=> Cette pastille correspond aux véhicules essence de moins de 10 ans ou aux moteurs diesel récents. Ex : Citroën C2 1.4-litre essence 2007, Renault Mégane 3 2.0-litres diesel 2013…

Pastille orange : Crit’Air 3
Véhicules essence ou hybride répondant aux normes Euro 2 et Euro 3 (du 1er janvier 1997 au 31 décembre 2005).
Véhicules diesel répondant aux normes Euro 4 (du 1er janvier 2006 au 31 décembre 2010).
=> Cette catégorie est réservée aux véhicules essence relativement anciens et aux diesel d’âge moyen. Ex : Peugeot 207 1.6-litre diesel 2008, Renault Twingo 1 1.2-litre 1998…

Pastille marron : Crit’Air 4
Véhicules diesel répondant aux normes Euro 3 (du 1er janvier 2001 au 31 décembre 2005).
=> Cette pastille est réservée aux diesel âgés de plus de 10 ans. Ex : Peugeot 206 HDI 2003, Renault Mégane 2 1,5 dCi 105 2005…

Pastille grise : Crit’Air 5
Véhicules diesel répondant aux normes Euro 2 (du 1er janvier 1997 au 31 décembre 2000).
=> La pastille des diesels de la fin des années 1990 pourrait faire partie des plus fréquemment pénalisées. Ex : Peugeot 406 2.1 TD 1999, Citroën Xsara 1.9 1998…

Non éligibles à l’obtention d’une pastille Crit’Air : 
Tous les véhicules essence et diesel immatriculés avant le 31 décembre 1996, catalysés ou non.
=> Cette catégorie regroupe les voitures les plus anciennes et les véhicules de collection. Ex : Peugeot 205 1.8 D 1993, Volkswagen Golf GTI 1989, Jaguar Type-E 1963…

Vous pouvez retrouver toutes les informations détaillées sur ce lien.

Qu’en pensez-vous ? Ces mesures vont-elles être respectées et sont-elles utiles ? 


Connaissez-vous l’auto-école sociale ?

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Le positionnement de votre auto-école définit votre image à travers vos prix, votre cible, votre travail et votre pédagogie. Il est très important à la création de votre école ou même lors d’un changement stratégique de bien définir votre positionnement, c’est un gain de temps et d’argent. Certaines auto-écoles, elles, ont choisi de devenir auto-écoles sociales. Qu’est-ce que cela signifie ?

  • Qu’est ce qu’une école de conduite sociale ?

Dans un premier temps, il est important de mettre en évidence que n’importe qui ne peut pas devenir auto-école sociale du jour au lendemain. En effet, ces établissements ont en réalité un statut associatif et sont donc régis par une loi qui implique l’école dans une mission d’insertion pour un public en difficulté.

  • Qui sont les publics concernés par une auto-école associative ?

Il y a plusieurs types de personnes qui correspondent aux critères pour prétendre à passer le permis de conduire dans une auto-école sociale. La plupart du temps il s’agit de jeunes sans qualification, de mères célibataires, de chômeurs, d’handicapés, d’apprentis, etc. Ces difficultés sont souvent combinées à des difficultés économiques, sociales, comportementales, à des problèmes de santé, d’addiction ou d’isolement, etc. Il s’agit donc d’un public particulier, l’auto-école sociale dispose donc d’un devoir d’orientation et de conseil auprès de ses clients.

  • Quels sont les avantages d’une telle auto-école ?

Il y a plusieurs points avantageux pour les publics concernés à faire appel à ce type d’établissement. Premièrement, le temps. En effet, dans ce parcours, la préparation du permis sur un an, un an et demi, voire deux ans, offre à l’ensemble des travailleurs sociaux le temps d’une action en profondeur. La préparation du permis qui motive le jeune réduit considérablement les risques de « perte de contact ». Les auto-écoles sociales prennent le temps de cerner, de comprendre et de conseiller les candidats pendant le passage du permis de conduire en évitant le stress supplémentaire du temps limité.

Dans un second temps, la préparation du permis nécessite des conditions minimales tant en matière de connaissances (de la langue, des mathématiques, en logique, etc.) qu’en matière de compétences physiques (santé, coordination des mouvements, comportements…). Motivé par le projet, l’apprenant se prête plus facilement aux différentes exigences dont il comprend le sens : une visite médicale, une consultation spécialisée, un cours d’alphabétisation etc.

Des écoles de conduite sociales ont noué des partenariats afin de faciliter l’articulation entre emploi et formation durant la préparation du permis. Chantier d’insertion, convention avec un CFA, ou sur un bassin d’emploi permettent de combiner emploi (urgence première du bénéficiaire) et formation (intérêt premier de l’investissement de fond public). Le Label Fare garantie la mise en place d’un réel parcours d’insertion pour les publics intégrant les écoles de conduite sociales qui l’affichent. Il est possible d’exiger la labellisation d’une structure qui se crée sur son territoire.

Une initiative qui permet donc aux personnes en difficulté de se motiver et de s’insérer plus sereinement dans la vie active.
Comme nous l’avons dit précédemment, chacun sa cible, chacun sa philosophie, l’incontournable est de savoir tenir sa stratégie et ne pas s’éloigner de ses propres objectifs.

Connaissiez-vous le concept d’auto-école sociale ? Qu’en pensez-vous ? 


Un dilemme pour les voitures autonomes

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Voitures autonomes et auto-écoles
Voitures autonomes et auto-écoles

Le 16 février dernier, nous vous annoncions que la Google Car avançait dans les différentes étapes de sa mise en circulation. Aujourd’hui, c’est toute les voitures autonomes, donc dotées d’une intelligence artificielle qui sont remises en question. En effet, un dilemme pour le moins compliqué vient se poser : qui doivent-elles sacrifier en cas d’accident ?

La réactivité du conducteur, nous en parlons souvent, alors comment réagir face lorsqu’un accident est sur le point de se produire ? Se sacrifier ainsi que ses passagers ? Sacrifier les piétons ? Le conducteur prend lui même sa décision dans un tel cas. Sauf que le problème vient se poser dans la programmation des voitures autonomes, comment doit réagir le véhicule dans une telle situation ?

Plusieurs études en psychologie ont réussi à démontrer que la plupart des automobilistes privilégient un éventuel sacrifice de leur part afin de sauver des vies. Des chercheurs du CNRS, mais également du Massachusetts Institute of Technology (MIT) et de l’université de l’Oregon, ont mené une enquête pour définir comment devrait réagir le véhicule autonome.

Les chercheurs ont donc imaginé le scénario suivant : « en ville, une voiture autonome est en mouvement, avec trois personnes à son bord, soit un homme, une femme et un enfant. Celle-ci se trouve sur un boulevard où il y peu de circulation et roule à 50km/h, la vitesse maximale autorisée en zone urbaine. Le véhicule arrive au feu rouge, mais un camion est garé en double file devant le passage piéton. Au moment de le dépasser, un groupe de dix étudiants s’engage sur la voie. »

Deux questions ont été posées à 2000 américains : « Quelle décision doit prendre le véhicule ? Protéger ses passagers en heurtant les piétons ou protéger les piétons en risquant la vie de ses passagers ? » ainsi que, « Seriez-vous prêt à faire l’acquisition d’un véhicule autonome capable de vous sacrifier pour sauver un plus grand nombre de personnes ? ». 

En premier lieu, les personnes décidé que les piétons, en plus grand nombre en comparaison aux passagers du véhicule, méritaient d’être sauvés, même si un enfant se trouvait dans la voiture. Alors qu’à la seconde question, les personnes interrogées ont dit qu’elles ne seraient pas prêtes à être sacrifiées.

Le dilemme est donc très important car c’est les constructeurs eux-même qui vont devoir prendre une décision pour la voiture autonome dans une telle situation.

Et vous, qu’en pensez-vous ? Une telle décision doit-elle être prise par les constructeurs ? 


Deux nouveaux services sont en ligne

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Cette semaine nous vous annonçons le lancement de deux nouveaux services que nous avons mis en place afin de répondre aux différents changements intervenus récemment dans le Code de la Route.

  1. Codedelaroute.co

Vous le savez, désormais l’examen du Code de la Route se passe dans des centres d’examens externes (La Poste et SGS). Afin de faciliter la recherche des élèves et des auto-écoles, sur le même concept que VroomVroom.fr, nous avons conçu une plateforme vous permettant de repérer les centres d’examen les plus près de chez vous.

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Vous y trouverez aussi un guide pratique pour une inscription facile à l’examen ainsi que de nombreuses informations relatives au Code de la Route (historique, chiffres clés, législation, etc.).

  1. E-Book – Devenez enseignant de la conduite

Dernièrement, le BEPECASER a été remplacé par l’ECSR (enseignant de la conduite et de la sécurité routière) et ce n’est pas toujours facile de s’y retrouver ! C’est pourquoi nous avons réalisé ce guide récapitulant toutes les informations à savoir concernant l’ECSR. Nous vous avions annoncé en avant-première la création de ce e-book. Désormais il est disponible et vous pouvez l’acheter (5,99€) afin d’avoir à portée de main tout ce qu’il faut savoir.

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Notre objectif est de nous adapter à vos besoins et aux différentes évolutions qui concernent votre métier. Qu’en pensez-vous ?


Ca bouge une nouvelle fois du côté des indépendants

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Cette semaine a été encore chargée au niveau des indépendants dans le secteur de l’enseignement de la conduite. Après En Voiture Simone, c’est maintenant au tour de plusieurs indépendants d’être repris à l’ordre par les tribunaux.

  1. « La 1ère consiste d’une part, au travers d’un protocole d’accord, à la reconnaissance du travailleur indépendant d’avoir commis des infractions et d’autre part à s’engager à respecter désormais la réglementation professionnelle et à ne plus réitéré ses pratiques.
    Dans le cas contraire, le travailleur indépendant devra verser la somme de 1 500 € à l’UNIDEC par nouvelle infraction à la réglementation professionnelle. »
  2. « La seconde, condamne le travailleur indépendant à cesser toute publicité pour l’enseignement de la conduite, qu’elle qu’en soit la forme, à retirer son annonce sur le site Internet « leboncoin » sous astreinte provisoire de 500 € par infraction constatée.
    Condamne également à verser à l’UNIDEC un euro à titre symbolique de dommages et intérêts et 800 € au titre d’indemnité de procédure. »
  3. « La troisième concerne une « enseignante libérale de la conduite » qui proposait sur des sites Internet des heures de conduite de véhicules à double commande aux fins d’apprentissage et d’obtention du permis de conduire. »

L’UNIDEC est plus que jamais impliquée dans la lutte contre les indépendants et les dérives qui y sont liées. Plusieurs procès sont en cours et nous ne manqueront pas de vous informer de chaque victoire de l’UNIDEC.

Les auto-écoles s’imposent et ce n’est pas fini ! Qu’en pensez-vous ? 


Travailleurs indépendants, qu’en est-il ?

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L’UNIDEC est récemment intervenu auprès de DDTM 21 au sujet de la généralisation du statut d’auto-entrepreneur dans le monde de l’auto-école. Nous avions déjà précédemment fait un article sur le sujet. Aujourd’hui les choses n’ont pas changées. La Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi (DIRECCTE) a été saisie et vient d’adresser un communiqué pour faire un état des lieux.

Il faut dans un premier temps noter que le statut d’auto-entrepreneur ne peut pas être choisi lorsque l’activité est exercée dans le cadre d’un lien de subordination. Le contrat doit forcément être requalifié en contrat de travail si une ou plusieurs des conditions suivantes sont remplies :

– l’auto-entrepreneur intervient dans le cadre d’une équipe organisée comprenant des salariés de l’utilisateur et utilise les locaux de l’auto-école pour les cours théoriques ,
– il travaille de façon continue, voire exclusive, pour un même utilisateur,
– les tâches sont définies par l’utilisateur et non par l’auto-entrepreneur lui-même,
– la clientèle lui est imposée, en l’occurrence des élèves conducteurs pour ce qui concerne une auto-école dont il ne gère pas lui même le fichier,
– les horaires de travail ou d’intervention lui sont imposés par son client,
– il est rémunéré à l’heure de travail,
– les tâches sont accomplies sous l’autorité de la société pour laquelle il intervient

Ne pas requalifier un auto-entrepreneur qui correspond à ces conditions est un délit puni d’une peine de prison de 3 ans et d’une amende de 45 000 €.

Concrètement, le statut d’auto-entrepreneur n’est pas un contrat viable pour enseigner la conduite, n’hésitez pas à aller consulter le dernier article que nous avons fais à ce sujet sous forme d’infographie.

Qu’en pensez-vous ? 


Un accès progressif aux motos de forte puissance

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Les deux-roues sont encore une fois dans le viseur de la Sécurité Routière, entre les campagnes chocs, les contrôles techniques ou encore les airbags, c’est un grand nombre de mesures qui viennent régir l’utilisation des motos. En même temps, avec un taux d’accidentalité toujours élevé en 2015, surtout chez les jeunes motards, il ne faut pas s’étonner.

Aujourd’hui c’est l’accès aux motos de forte puissance (> à 35 Kw ou 47 CV) qui est réglementé. Avant le 2 juin 2016,toute personne âgée de plus de 24 ans pouvait passer l’épreuve du permis A qui donnait accès aux motos de forte puissance.

C’est le décret n°2016-723 du 31 mai 2016, publié au Journal officiel du 2 juin, qui vient annoncer que « désormais toute personne majeure, quel que soit son âge, doit d’abord être titulaire du permis A2 (inférieur à 35 Kw) pendant un minimum de deux ans avant de pouvoir prétendre au permis A. Pour obtenir ce passage du permis A2 au permis A, elle devra suivre une formation spécifique de 7 heures en école de conduite, non sanctionnée par un examen, afin d’assurer la transition en toute sécurité d’une moto de faible à forte puissance ».

En effet, si on reprend les chiffres de 2015, ce sont 614 motocyclistes qui sont décédés sur nos route dont près de 20% étaient des conducteurs novices. Un chiffre encore beaucoup trop important et qui permet de bien comprendre l’origine de ce nouveau décret.

Mais nous vous inquiétez pas, une « période transitoire a toutefois été prévue pour permettre aux personnes inscrites à l’examen de la catégorie A du permis de conduire, avant la modification de la réglementation, de passer cet examen dans les six mois à compter de la publication du décret, sous réserve qu’elles soient âgées de 24 ans au moins au moment du passage de l’épreuve ».

Espérons que ce décret aura des répercussions positives sur l’accidentalité en France. Il faut dire que cette année, la Sécurité Routière est active sur les deux-roues. Vous pouvez retrouver le communiqué complet sur le site de la Sécurité Routière.

Qu’en pensez-vous ? Ce nouveau décret permettra t’il de réduire les dangers de nos routes ? 


En voiture Simone, un business model qui s’effondre

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En ce moment, c’est une série de victoires pour l’UNIC qui viennent ponctuer l’actualité des auto-écoles. Après Ornikar ou encore Localib c’est maintenant au tour de En Voiture Simone d’être condamné.

« Descendez, Simone », a déclaré le juge en donnant raison à l’UNIC. En effet, avec cette condamnation c’est tout le business model de la start-up qui s’effondre.

Pourquoi ?

En Voiture Simone était basé sur le fait que l’agrément préfectoral pour les auto-écoles est valable au niveau national et non dans un cadre départemental uniquement. Or, le juge a fait la part des choses et a rendu à César ce qui est à César. En effet, l’agrément préfectoral est bien valable dans un cadre départemental.

En Voiture Simone a donc été condamné à partir du 1er juin à cesser « d’exercer l’enseignement de la conduite véhicule à moteur hors de la ville de Paris ». C’est donc un gel quasi total de la société en attendant la décision en seconde instance. La start-up a déclaré à la suite de cette décision : « Nous allons essayer de faire appel le plus rapidement possible mais nous sommes menacés de mort. Nous risquons de mettre la clé sous la porte car nous n’avons pas les moyens de rembourser tous les élèves ». La peine a été assortie de d’une astreinte de 10.000 euros par jour à compter de la signification de la décision.

C’est grâce à Philippe Colombani, le président de L’UNIC ainsi qu’à tout ces adhérents que cet condamnation a eu lieu le 1er juin. « Nous voulons simplement qu’ils respectent les loisLa justice reconnait que nous avons raison depuis le début. »

Bien que cette décision laisse présager de bonnes nouvelles pour les auto-écoles, le combat est loin d’être fini. En effet, En Voiture Simone ou encore Ornikar demandent désormais de changer la loi pour faire passer l’agrément préfectoral pour les auto-écoles national.

Il n’y a pas besoin de préciser que si l’État acceptait cette requête, c’est l’ensemble des acteurs du monde l’auto-école qu’il se mettrait à dos pour favoriser des minorités hors la loi. Nous vous tiendrons informés de l’avancée des procédures.

Qu’en pensez-vous ? L’UNIC gagnera-t’il la bataille finale ?


Apple engage des milliards de dollars dans l’automobile

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Nous parlions il y a quelques temps de la Google car qui est en train de franchir les étapes dans sa mise en circulation. Aujourd’hui, c’est Apple qui investit dans le secteur automobile dans un projet encore mystérieux.

Apple est l’une des marques dans le secteur des nouvelles technologies qui, jusqu’ici, dépensait le moins en recherche et développement. En 2007, l’année de sortie du premier iPhone, la marque n’avait dépensé que 780 millions de dollars en R&D, soit 3% de son chiffre d’affaires.

Seulement, depuis 3 ans, la firme a pris un tout autre créneau en investissant de plus en plus en recherche et développement (8,07 milliards de dollars en 2015). Il semblerait que cette forte hausse des investissement soit liée au secteur automobile et que Apple voudrait rattraper son retard sur ce secteur en pleine évolution.

Si l’ensemble de l’industrie automobile travaille actuellement sur le remplacement du moteur basique par l’électrique, aucune marque ne semble pouvoir rivaliser avec Apple concernant les investissements engagés. Les constructeurs historiques auraient donc de quoi s’inquiéter.

Bien que nous n’ayons à l’heure actuelle aucune information quant à « l’Apple Car » , on peut quand même penser que le modèle économique envisagé se baserait sur l’autopartage. Le firme vient en effet d’investir 1 milliard de dollars dans le concurrent chinois d’Uber. Selon des analystes : « Cela montre un intérêt certain pour l’autopartage qui permettrait à la firme d’avoir des revenus récurrents. Et au vu des sommes qu’Apple consacre à ce développement par rapport aux autres constructeurs, nous pensons qu’elle peut envisager une part de marché de 16%, soit la même que celle qu’il a sur les smartphones. »

Un tel revirement de situation dans l’industrie automobile peut très sérieusement inquiéter les constructeurs automobiles car Apple pourrait récupérer 416 milliards de chiffre d’affaires, soit près de trois fois les revenus actuels de l’iPhone.

Qu’en pensez-vous ? La marque Apple est-elle prête à rivaliser avec les constructeurs automobiles ? 


Le permis numérisé, bientôt au Royaume-Uni ?

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Notre smartphone est en train de devenir petit à petit notre outil indispensable. En plus de nous permettre de téléphoner, d’aller sur internet, d’utiliser un GPS, de consulter ses mails, etc. il est aussi en train de devenir notre carte bancaire, notre clé de voiture ou encore l’endroit où l’on stocke nos cartes de fidélité.

C’est d’ailleurs à cet outil de stockage que nous allons nous intéresser aujourd’hui. Sur les Iphones, Apple propose une application nommée Wallet qui permet de stocker des cartes de fidélités, des billets de trains, etc. L’application est particulièrement sécurisée avec un chiffrement de bout en bout et un accès qui se fait à l’aide de l’empreinte digitale de l’utilisateur et un mot de passe. Androïd n’est pour l’instant pas concerné car Google n’a pas annoncé le lancement d’une telle application.

La Grande-Bretagne est actuellement en train de tester une toute nouvelle fonctionnalité grâce à cette application : le permis de conduire numérisé. Mais quel en est l’intérêt ?

  • Fini l’oubli du permis de conduire (vous avouerez que la seule chose que personne n’oublie jamais est le téléphone portable ;))
  • Fini les papiers roses déchirés ou les cartes perdues

Le smartphone permet donc de résoudre un bon nombre de soucis et faciliterai le contrôle des automobilistes. Le permis de conduire numérisé permettrai d’afficher la photo du conducteur, mais aussi sa date de naissance, la date d’obtention du permis de conduire, sa date d’expiration et les types de permis concernés.

C’est un simple tweet Oliver Morley, responsable de l’agence britannique d’enregistrement des conducteurs et des véhicules qui a annoncé l’idée de créer un tel permis de conduire.

Bien que le permis numérisé n’en soit encore qu’au stade d’idée et que pour l’instant il n’y ai aucune date de mise en place de prévue, une telle innovation pourrait bien révolutionner la vie des automobilistes. Nous vous tiendrons informés de l’avancée de ce projet !

Qu’en pensez-vous ? Serait-ce une bonne idée ?