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Projet de loi : une formation obligatoire après l’obtention du permis

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Formation obligatoire

Le 14 octobre dernier, le Sénat proposait un nouveau projet de loi afin de mettre en place une formation complémentaire obligatoire après l’obtention du permis.

Sur le modèle de 5 Etats membres (Luxembourg, Autriche, Finlande, Estonie et Slovénie), la France prévoit d’imposer une formation qui devra avoir lieu entre 6 et 36 mois après l’obtention du permis. L’apprentissage aura lieu dans une auto-école. Ce projet a pour objectif de lutter contre les accidents de la route dont les chiffres sont encore alarmants surtout chez les 18-24 ans.

Cette formation reposera sur 3 temps : deux modules de perfectionnement à la conduite (2 fois 3 heures) et un autre réservé à la sensibilisation aux dangers de la route (2 heures). Impossible pour les futurs apprentis d’obtenir les 12 points du permis de conduire sans l’attestation de passage du stage.

Cette formation sera l’occasion d’apprendre aux conducteurs certaines conduites spécifiques comme la conduite sur un sol verglacé ou la conduite de nuit. Il semblerait que les chiffres soient moins alarmants chez nos voisins qui ont adopté de telles mesures, alors pourquoi pas la mettre en place ?

Les deux seuls points noirs au tableau pour les jeunes conducteurs sont les 8 heures à consacrer à la formation et surtout, le coût de cette phase (encore inconnue) qui sera à leur propre charge.

Qu’en pensez-vous ? Cette mesure est-elle une bonne idée pour réduire les dangers de nos routes ?


La réforme du permis de conduite, qu’en est-il ?

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Lors du congrès CER qui a eu lieu le 24 octobre 2015 à Lille, nous avons eu l’occasion d’assister à la présentation de l’avancée de la Loi Macron, présentée par Monsieur Pierre Ginefri, sous-directeur de l’éducation routière et du permis de conduire.

1. Evolution du temps d’attente à la présentation des examens de conduite B

Comme nous en avions parlé précédemment, le délai d’attente pour les candidats ayant raté leur permis devrait passer à terme de 98 à 45 jours. Comment y parvenir ? La réforme a mis plusieurs moyens en place et ce depuis 2014 :

  • Réduction du temps d’examen de 35 à 32 minutes
  • Prise en charge de l’ETG par des réservistes de la police, de la gendarmerie nationale et des agents publics désignés par les Préfets de département
  • Modernisation de l’épreuve théorique avec un passage sur ordinateur individuel

Grâce à ces mesures, 134.500 places d’examens ont pu être ajoutées entre juillet 2014 et juin 2015 et la répartition de l’activité des IPCSR a évolué en faveur du passage des examens pratiques.

repartition IPCSR

En définitive, le délais moyen annualisé en jours est passé de 90 en juillet 2014 à 81 en juillet 2015. Un premier succès pour la réforme du permis de conduire.

      2. L’attribution des places d’examen

Réforme permis de conduire

L’article 30 intègre la notion « d’enseignant à la conduite » dans la méthode de calcul nationale de répartition des places d’examen. Art.30 « Ces places sont attribuées aux établissements d’enseignement de la conduite et de la sécurité routière en fonction notamment du nombre d’enseignants à la conduite ». Vous pouvez calculer votre nombre de place à l’aide de la formule ci-dessus. Tous les mois, les auto-écoles devront publier via une application web la déclaration du nombre d’enseignants par établissement en ETP.

3. Autres mesures

  • Ouvrir le permis à 1€ par jour pour aux candidats en situation d’échec
  • Relancer la conduite accompagnée : les candidats pourront commencer la conduite accompagnée à 15 ans et passer l’examen à 17 ans et demi (en vigueur depuis le 1er novembre 2014)
  • La conduite supervisée sera systématiquement proposée aux candidats après un échec et les conditions (3 mois, 1000 km) seront supprimées
  • Mettre en place un post-permis durant la période probatoire
  • Redéfinir le contenu obligatoire du contrat entre l’élève et l’auto-école
  • Mettre en place des démarches qualité : labellisation par l’état ou certification par un organisme
  • Le cadre réglementaire de l’enseignement à titre onéreux reste l’établissement agréé disposant d’un local. Le code de la route ne contient aucune prescription sur la nature du contrat enseignant / école de conduite mais la requalification en contrat de travail pour les moniteurs indépendant peut être prononcée par les services spécialisés ou par la justice.

La réforme de permis de conduire a bien évolué et les mesures mises en place sont de plus en plus nombreuses. Que pensez-vous de leur pertinence ? 


Des agents publics pour faire passer le permis !

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Les examinateurs ne seront désormais plus les seuls à pouvoir faire passer l’épreuve pratique du permis de conduire.

Le décret n°2015-1379 du 29 octobre 2015 autorise les agents publics et contractuels (postiers, policiers à la retraite) ayant passé une formation initiale dans un organisme agréé à faire passer l’épreuve de conduite aux candidats. Conformément à la loi Macron du 6 août 2015, ce décret est applicable dans les départements où le délais de passage de l’examen est supérieur à 45 jours.

Les agents doivent être âgés d’au moins 23 ans et disposer d’un permis de conduire en cours de validité depuis 3 ans minimum. Leur habilitation à faire passer l’examen est fixé pour une durée de 2 ans renouvelable.

Le décret publié dans le Journal Officiel le 31 octobre est entré en vigueur le 1 novembre. Les agents publics et contractuels habilités peuvent donc officiellement faire passer l’épreuve pratique du permis de conduire dans le but de réduire le temps d’attente des candidats.


Le congrès annuel CER, on y était!

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Comme chaque année, toutes les auto-écoles CER se réunissent lors d’un congrès pour l’Assemblée Plénière du groupe. Cette année il a eu lieu les 22, 23, 24 et 25 octobre au Lille Grand Palais. C’est autour de plusieurs réunions et ateliers de formations que les gérants ont pu échanger et discuter de leur métier.

C’est aussi l’occasion pour les partenaires de présenter leurs dernières solutions et produits aux auto-écoles du groupe et de leur permettre profiter de tarifs préférentiels.

Les gérants des autos-écoles CER ont aussi eu l’opportunité de découvrir Lille et Bruges et de s’offrir une pause gourmande en goûtant les spécialités locales telles que : les gaufres Méert et la bière Lilloise.

L’équipe VroomVroom.fr / PermisMag est arrivée le jeudi, au programme installation et bonne humeur ! Notre présence sur ce congrès a été l’occasion de rencontrer tous les gérants et bien entendu de présenter notre approche digitale, notre vision du métier ainsi que de discuter de l’avenir de cette profession.

C’est le samedi après-midi qu’a eu lieu de temps fort du congrès avec l’Assemblée Plénière CER. Nous avons eu la chance de pouvoir y rencontrer M. Pierre Ginefri, sous-directeur de l’éducation routière et du permis de conduire qui nous a partagé les futures étapes de la réforme du permis de conduire dont nous parlerons dans un futur article.

Mais le congrès CER c’est aussi un moyen de lier travail et détente ! Nous avons pu partager des moments de convivialité notamment lors des soirées organisées par le congrès. Vendredi soir le thème était : « I love Rock’N’Pop ». Cette soirée qui a eu lieu au Théâtre de l’Hôtel Casino Barrière Lille s’est déroulée autour d’un dîner gourmet et d’un spectacle de chant et de danse. La musique Pop Rock était au coeur de ce rendez-vous agréable.

Le samedi soir avait lieu la soirée de clôture du congrès qui avait pour thème : « Soirée de Gala à la Ferme des Templiers ».

Qu’en retenir ? Le congrès CER nous a montré la force de son réseau. Plus on est plus nombreux, plus on est fort et ça, CER l’a bien compris.

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Renault « Le Corbusier », seulement en rêve !

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Si vous comptiez renouveler votre flotte avec la Renault « Le Corbusier », votre projet va très probablement tomber à l’eau.

Cette voiture aux allures futuristes et architecturales n’est qu’un prototype qui ne sera jamais commercialisé.

L’objectif étant de rendre hommage à l’inoubliable architecte « Le Corbusier » disparu en 1965.

Le communiqué de presse fournit par Renault indique que : « Tout a commencé il y a 2 ans. Au Design du Groupe Renault, les équipes travaillent régulièrement sur des sujets prospectifs, sans lien avec nos renouvellements de gamme. C’est une façon d’explorer des voies nouvelles et de permettre aux créatifs des moments « récréatifs ».

La conclusion apportée sur le communiqué de presse montre une entreprise engagée dans l’art, innovante comme se veut leurs valeurs à savoir : vision, innovation, audace, altruisme.

« Les équipes Design du groupe Renault sont fières de pouvoir rendre hommage à cet architecte et designer visionnaire qui a su réinventer l’architecture et la rendre accessible à tous. Une structure de pensée et des valeurs que nous partageons chez Renault. »

Nous sommes donc au regret de vous annoncer que ce bolide, bijoux de conception pourra seulement ravir vos yeux lors de l’exposition : « Des voitures à habiter : automobile et modernisme XXe-XXIe siècles » à la Villa Savoye (82 rue de Villiers, 78300 Poissy) du 22 octobre 2015 au 20 mars 2016.

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Moniteurs indépendants, légalité ou illégalité ?

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Chez PermisMag, on reçoit régulièrement des demandes concernant le statut de moniteur indépendant. Afin de mieux vous éclairer sur cette question complexe, nous vous avons préparé un guide des points essentiels :

Selon le code du travail, « Est travailleur indépendant celui dont les conditions de travail sont définies exclusivement par lui-même ou par le contrat le liant à son donneur d’ordre. Il ne doit exister aucun lien de subordination entre le travailleur indépendant (ou l’auto- entrepreneur) et la personne qui bénéficie de ses services ».

Qu’en dit le code la route ?

Selon, l’arrêté du 8 janvier 2001 relatif à l’exploitation des établissements d’enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière, l’enseignement de la conduite doit faire l’objet d’un agrément.

Cet agrément est caractérisé par le fait, entre autres, que l’établissement de conduite doit obligatoirement disposer d’un local pour recevoir les clients et effectuer les leçons de théorie.

De plus, selon Article L213-2 du code de la route, l’enseignement de la conduite à un élève doit faire l’objet d’un contrat écrit signé entre le candidat et l’établissement.

Par conséquent, les moniteurs indépendants qui voudraient donner des leçons indépendamment d’une auto-école ne répondent pas aux principes fondamentaux qui régissent l’enseignement de la conduite.

La loi n’interdit pas aux moniteurs de travailler de manière indépendante mais plusieurs lois viennent bloquer cette pratique de manière transversale.

Tout est résumé sur notre infographie !

Infographie sur les moniteurs independants
Infographie sur les moniteurs independants

Si un doute persiste, n’hésitez pas à vous renseigner auprès de l’URSSAF.

Et vous, qu’en pensez-vous ?


LES ANECDOTES INSOLITES DE LA CONDUITE. VOL 4

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anecdotes conduite

Vous le savez mieux que personne, la conduite réserve parfois quelques surprises ! Voici quelques exemples :

L’homme qui conduisait nu !

Le 19 mars dernier à Saint-Brieuc, Côtes-d’Armor, un homme de 69 ans, un homme a été aperçu par un témoin en train de conduire avec un t-shirt mais sans pantalon ni sous-vêtement. Alzheimer ou naturiste ? Il a tout de même écopé de 15 jours de prison avec sursis et de 250 euros d’amende.

Un enfant au volant

Le 7 octobre, un enfant de 10 ans a été repéré au volant d’un véhicule sur une zone industrielle Suisse. Non il ne s’agit pas d’une blague mais d’un père moniteur d’auto-école qui a voulu initier son fils sur une voiture double commande. Pas très sérieux tout ça !

Une candidate maladroite

Le 16 octobre, une jeune femme de 20 ans a commis une erreur regrettable dans l’Etat de Washington. Alors que l’examen touchait à sa fin et que la femme allait se garer sur le parking de l’auto-école, elle a confondu le frein avec l’accélérateur et à littéralement foncé dans la façade de son auto-école. Bien entendu, permis raté !

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5 bonnes attitudes pour bien recruter votre moniteur

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Vous venez d’ouvrir votre auto-école, ou voulez simplement renforcer votre équipe, et vous avez décidé d’engager un moniteur ? Nous vous donnons quelques conseils pour bien préparer l’entretien et recruter la personne qu’il vous faut !

1. Écrire une offre d’emploi claire et précise

La première étape quand on recrute quelqu’un est d’écrire une offre d’emploi qui détaille bien toutes les compétences et l’expérience voulue. Celle-ci doit être très complète, afin de ne pas avoir de candidatures hors-sujet, ou qui ne correspondront pas au profil recherché.

L’annonce doit comporter plusieurs informations : le nom et la localisation de l’auto-école, les horaires de conduite ou le volume horaire hebdomadaire de travail, les compétences demandées, le nombre d’années d’expérience voulu, et le profil type recherché. N’hésitez pas à être très précis, quitte à faire quelques concessions lors des entretiens.

2. Rendre son annonce visible

Une fois que votre annonce est bien soignée et complète, il est temps de la diffuser pour qu’elle soit visible par de nombreux moniteurs. Aujourd’hui, de nombreux sites et applications de recrutement existent, et il est important d’être présent sur un maximum d’entre eux, en visant les plus connus et fréquentés. Cependant, la plupart des moniteurs n’ont pas le réflexe d’aller visiter ces sites, c’est pourquoi VroomVroom a créé un site spécialisé dans le recrutement des moniteurs : http://www.moniteurs-auto-ecole.com/.

3. Faire une sélection des CV

Pour recevoir les CV, il est important de créer une boîte mail différente de celle de l’auto-école, pour éviter de mélanger les questions des élèves et les mails administratifs aux multiples CV des moniteurs qui vous seront envoyés.

Vous recevrez certainement des CV avec des profils très différents les uns des autres, il faut alors se concentrer majoritairement sur les compétences des candidats, ainsi que leur expérience, et éventuellement la langue : il est important que le moniteur puisse communiquer naturellement avec l’élève. Faites surtout très attention à ne pas commettre de discrimination lors du choix du candidat, votre choix ne devrait pas être fait en fonction du sexe ni de la photo de la personne.

4. Poster les bonnes questions lors de l’entretien

Une fois que vous avez sélectionné quelques CV, il est temps de passer aux entretiens ! C’est le moment crucial pour savoir qui est la personne en face de vous, et si elle correspond au poste proposé. Pour ça, posez-lui toutes les questions que vous jugez utiles : vous pouvez lui demander de vous décrire ses précédentes expériences s’il en a, lui demander pourquoi il a quitté son job précédent, ses prétentions salariales… Demandez-lui de vous présenter ses qualités personnelles, sa manière d’enseigner aux élèves en conduite, son intérêt pour le métier. A travers ses réponses, vous pourrez voir son profil se dessiner plus précisément, et ainsi savoir s’il correspond vraiment au poste. L’important durant l’entretien est également de juger la motivation du candidat, car c’est ce point qui peut faire toute la différence !

5. Tester ses candidats

Après l’entretien, vous aurez une idée beaucoup plus précise de la personne que vous allez embaucher, mais il est important de savoir si le candidat est vraiment aussi efficace que ce qu’il vous a dit sur son CV et lors de l’entretien. Pour cela, il suffit de le tester, ce qui vous évitera des mauvaises surprises ! Vous pouvez par exemple simuler une heure de conduite en vous mettant à la place d’un élève, et en observant le moniteur agir.

Pour aller plus loin, il est possible d’envisager de faire passer au candidat des tests d’aptitude, des tests psychotechniques, ou même des tests de personnalité. Gardez cependant en mémoire que, bien que ces tests soient intéressants, ils risquent de vous prendre du temps et de représenter un budget conséquent.

Et vous, comment recrutez-vous vos collaborateurs ?


Les 22 nouvelles mesures de sécurité routière

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Vendredi 2 octobre un comité interministériel de la sécurité routière présidé par Manuel Valls s’est réuni avec pour objectif de descendre en dessous de 2000 personnes tuées sur les routes en 2020. Cet objectif ne sera atteint que si deux facteurs sont respectés : la responsabilité des conducteurs et l’action déterminée des pouvoirs publics.

En 2014, nous avons constaté une augmentation de 17,4% de délits routiers et une hausse de 11,3% des infractions liées à la vitesse. De quoi alarmer l’état sur les mesures de sécurité routière.

Le comité du 2 octobre a donc établi une liste de 22 nouvelles mesures visant à réduire ces infractions et surtout le nombre d’accidents mortels.

Les mesures adoptées

L’un des principaux axes adopté lors de ce comité repose sur l’augmentation de la surveillance radar des automobilistes. 10 000 radars leurres seront installés sur nos routes pour inciter les automobilistes à ralentir. Une augmentation des radars mobiles embarqués et des radars automatiques, jusqu’à 4700 en 2018, sont aussi prévus. La grande nouveauté est le test de radars drones pour remplacer les hélicoptères jugés trop coûteux.

Ensuite, les mesures adoptées concernent les contrôles d’alcoolémie et de stupéfiants.Il y aura plus de contrôle aléatoires. Des mesures de d’éthylotest anti-démarrage vont être mis en place prochainement afin de permettre aux personnes ayant perdu leurs permis et pour lesquelles ce dernier est indispensable pour travailler.

Plusieurs mesures liées aux deux roues vont être obligatoires notamment le port de gants homologués ou encore le contrôle technique des motos.

Des mesures qui peuvent paraitre un peu légères face aux nombre d’accidents sur nos routes et surtout face au comportement des automobilistes.

Que pensez-vous de ces mesures ? Sont elles suffisantes pour améliorer la sécurité de nos routes ?

Vous retrouverez l’ensemble de ces mesures détaillées sur le communiqué de presse du CISR.


La Google Car, incroyable ou ennuyeuse ?

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Vous avez surement entendu parler de cette incroyable innovation, la Google Car ! Vous savez cette voiture qui conduit toute seule, qui n’a ni volant ni pédale mais seulement un écran de contrôle.

Qu’est ce que la Google Car ?

La Google Car pensée par Google est une voiture totalement autonome qui ne nécessite aucune intervention humaine lors de la conduite. Deux modèles ont été déclinés, une version modifiée de Lexus et une voiture totalement conçue par Google.

La version Google cesse presque d’être une réelle voiture car elle n’a pas de volant ni de pédale et seulement un bouton d’arrêt d’urgence si un problème survenait. Installez-vous confortablement dans le siège et observez la route.

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Est-ce vraiment sûr ?

D’après l’expérience de Dave Lee, un journaliste de la BBC, la GoogleCar est fiable et prudente, trop prudente.

Bien plus prudente qu’un automobiliste la Google Car roule très lentement, freine au moindre incident même si celui ci ne présente aucun danger au risque de se faire percuter par la voiture qui précède.

L’expérience semble assez impressionnante au début, être dans une voiture qui roule seule est une expérience étrange. Pourtant, au bout de quelques instant on s’ennuie et on a envie de prendre le volant et les pédales pour rouler plus vite et éviter de freiner pour rien.

Bien entendu, si on pense en terme de sécurité, la Google Car serait un moyen considérable de réduire le nombre d’accidents sur les routes mais si vous être en retard pour aller travailler ou si vous voulez simplement rouler plus vite, vous allez sûrement être déçu.

Bien que la Google Car soit une solution d’avenir pour éliminer les accidents mortels et rendre nos routes plus sûres, si vous aimez conduire, la Google Car n’est pas faite pour vous !

Comment cette solution va t’elle évoluer ? Va t’elle se démocratiser ? Que pensez-vous de cette voiture ?